Bilan premier semestre 2025 - marché auto ITALIE
- Jérémy
- 4 juil.
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Le mauvais mois de juin a un impact sur le premier semestre pour le marché automobile italien qui recule de 3.6% à 854 690 unités vendues soit 30 000 de moins qu'en 2024. Surtout, le marché italien reste inférieur de 21% à son niveau de 2019, signe que le redressement est particulièrement long.
Dans ce contexte, les ventes de :
ALFA ROMÉO sont en hausse de 38.25% à 16 838 unités pour une part de marché de 1.97%
CITROËN sont en baisse de 14.84% à 33 384 unités pour une part de marché de 3.91%
DS sont en baisse de 8.30% à 2 904 unités
FIAT sont en baisse de 13.74% à 82 474 unités pour une part de marché de 9.65%
JEEP sont en baisse de 5.13% à 36 896 unités pour une part de marché de 4.32%
LANCIA sont en baisse de 78.26% à 5 368 unités pour une part de marché de 0.63%
MASERATI sont de 1 017 unités
OPEL sont en baisse de 14.23% à 21 982 unités pour une part de marché de 2.57%
PEUGEOT sont en hausse de 11.67% à 48 898 unités pour une part de marché de 5.72%
Au total, les ventes de Stellantis sont de 249 761 unités pour une part de marché de 29.22% devançant largement le groupe Volkswagen avec près de 14 points de part de marché d'avance. Comme attendu, les ventes de Citroën sont en baisse, l'impact de la baisse de mai et juin amplifie les pertes depuis le début de l'année.
Du côté des modèles, la Citroën C3 est la meilleure vente de la marque avec 25 466 unités, elle se classe 4ème du marché et deuxième de son segment mais toutefois avec des ventes en baisse de 3.38%. La Citroën C3 est la voiture essence la plus vendue tandis qu'elle se classe troisième des voitures électriques mais première de son segment avec 2 874 unités soit un mix électrique de 11.28%. La Citroën C4 est la première berline compacte française vendue avec 1 971 unités, elle se classe 8ème du segment devant la Peugeot 308.
Citroën baisse davantage que le marché... Inadaptation manifeste de la proposition face à la demande. Un peu partout en Europe - à quelques exceptions près, c'est le même constat, avec à la clé, un réseau qui souffre et se délite. Voilà la triste réalité !