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Road Trip en Citroën Berlingo 1.5 Blue HDi 130 - Deuxième partie : l'essai


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Après une première partie consacrée à la découverte du Berlingo, voici le temps de l'essai.

1. Au démarrage :

Bien installé au volant, tout tombe naturellement sous la main.  Grâce aux multiples réglages, la position de conduite est trouvée rapidement et parfaitement.  Assis bien haut, le conducteur surplombe la route.  Contact, moteur ! Équipé du nouveau moteur 1.5 Blue HDi 130 ch, ce nouveau Berlingo se révèle silencieux.  Le bruit du moteur est bien étouffé aussi bien dedans que dehors. J'apprécie la commande rotative de la boîte EAT8 d'une extrême simplicité d'usage.  Bien calé sur le siège, l'accoudoir central (un vrai cette fois-ci très bien situé) en position, paré à dévorer les kilomètres. 

2. En ville : 

Malgré son gabarit imposant, le Berlingo est en réalité compact puisqu'avec ses 4.40m, il dépasse ma C4 de 7 cm à peine.  Et qui dit compacité dit maniabilité.  Le Berlingo se révèle étonnant de maniabilité, la direction extrêmement douce à faible allure, couplé à la boîte auto et aux multiples radars ceinturant le véhicule, le Berlingo affronte la ville comme si de rien était.  Tout est simple, pratique, facile.  La position de conduite surélevée et la douceur du couple moteur-boîte, rende la ville facile.  

Si le Berlingo étonne par sa maniabilité, il épate carrément par son confort.  Les saignées, les bosses, les trous et même les petites routes pavés, le Berlingo lisse la route.  Alors, certes, il ne possède pas les suspensions à butées hydrauliques qui font encore mieux car elles apportent un ouaté mais le Berlingo ne se révèle pas dur et se trouve aussi confortable qu'un C4 SpaceTourer.  Seul, le train arrière peut montrer quelques légères trépidations mais cela est plutôt normal, en charge, le comportement du train arrière doit être modifié. 

3. Sur autoroute :

Bardé de toutes les aides à la conduite disponibles, régulateur adaptatif avec freinage jusqu'à l'arrêt complet, l'assistant de maintien dans la voie et la boîte auto donnent un premier aperçu de la conduite autonome.  Avec le Berlingo, seule la direction doit être tenue, le reste est géré intégralement par la voiture.  C'est assez étonnant au début et, pour être honnête, moi qui aime conduire, cela me dérangeais un peu mais je dois l'avouer, l'autoroute se transforme en ballade et les kilomètres s'avalent sans aucune fatigue le tout dans un confort de premier plan. 

Les performances sont de premier plan et le 130 à l'heure est maintenu peu importe le relief de la route.  Les reprises sont plus que satisfaisantes, la boîte enchaîne les huit rapports sans problème excepté sur les trois premiers rapports où un petit temps de latence se fait sentir,  à compter de la 4ème vitesse, les rapports passent sans ressentir aucun à coups. 

Conclusion : 

Difficile de faire plus long sur ce premier compte rendu d'essai, puisque je n'ai pas roulé beaucoup mais difficile de trouver un défaut à ce Berlingo.  Alors certes, les plastiques sont durs mais l'assemblage ne souffre pas la critique et aucun bruit de mobilier ne se fait entendre.  L'habitabilité est exceptionnelle, chacun à une place folle.  

Pour résumer, le Berlingo n'en mets pas plein la vue, il sait rester humble mais montre d'exceptionnelles qualités en étant d'une redoutable efficacité, d'une praticité incroyable, habitable, confortable, silencieux.  Ce Berlingo est une bulle de bonheur. 

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